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ECRITURE CREATIVE - MEDITATION PLEINE CONSCIENCE

Proposition d'écriture N° 1

Voici notre première proposition d'écriture :

CONFINEMENT 

En cherchant dans le " Dictionnaire des idées suggérées par les mots " ( Paul Rouai ), à la rubrique " confinement ", j'ai trouvé cette liste de mots :

- proche, ambiant, environnant, envoisiné, touchant, en contact, aux environs, le long de, rez, limitrophe, contigu, attenant, adjacent, mitoyen, proximité, rapprochement, cantonner, enfermer, reléguer, cloîtrer, côtoyer.

Pourriez vous composer un texte assez court ( une dizaine de lignes ) dans le quel on retrouverait 5 de ces mots, sur le thème du confinement ?

 

Dans votre texte, vous ferez apparaître les mots suivants : rivière, pâtisserie, élégance.

 


Vous pouvez conjuguer les verbes, utiliser les mots dans l'ordre que vous aurez choisi. Vous pouvez, à votre gré, raconter une histoire, une courte nouvelle, une poésie ou tout autre forme de texte.

Laissez aller votre imagination et votre créativité !

Pour envoyer vos textes, aller en bas de page et cliquez sur " en savoir plus " puis sur " commenter cet article" .

 

A très bientôt ! 

Vous pouvez déposer vos textes dans la rubrique " COMMENTER CET ARTICLE " ci dessous !

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R
Enfermée dans ma maison, je ne suis plus en contact avec mes voisins, sauf un bonjour par ci par là. J'effectue une marche quotidienne, le long de la rivière, à proximité de mon village. Souvent, je peux contempler l'élégance du héron qui cotoie les berges, et rêver aussi devant les cailloux roulés par l'eau aux formes évocatrices de patisseries. Je ne me cantonne pas aux endroits humides et suis les chemins limitrophes des champs.
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M
Souvenir de vacances <br /> À proximité de la rivière se trouvait une pâtisserie attenante à une maison où vivait une famille étrange, pour ne pas dire bizarre. Il était difficile de pouvoir y côtoyer ses différents membres : les deux parents et les trois filles. J’aurais tellement aimé entrer en contact afin d’établir un rapprochement avec la fille aînée d’une grande élégance, sensiblement du même âge que moi, qu’on apercevait de temps en temps hors de la maison. Les deux plus jeunes sœurs étaient touchantes, vêtues de façon identique, affichant un air si triste.<br /> Ces trois filles semblaient enfermées, cloîtrées même, tellement les instants où on les apercevait étaient brefs. <br /> Les vacances se terminèrent sans que je pus rencontrer la fille aînée et je dus me cantonner dans mes suppositions, mes questionnements, mes suspicions.
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A
Le rapprochement rivière-pâtisserie n’est d’aucune élégance.
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C
avec une longueur de retard, mon texte...<br /> Bonjour à tous!<br /> La bouilloire<br /> Un jour, la bouilloire électrique qui avait depuis peu rejoint les ustensiles environnant mon quotidien - en sus de la vue sur la rivière - en eut assez de répondre aux injonctions de mon index : chauffer, arrêter, chauffer, arrêter. Puisque telle était sa nature - bouillir - elle décida de le faire de façon continue. C’est ainsi qu’en début d’une nuit, alors qu’un premier sommeil s’annonçait une odeur de brûlé, de chaud m’alertait. Je pensais alors au désherbeur thermique utilisé dans l’après-midi, rangé dans la cave – peut-être n’avais-je pas suffisamment attendu son refroidissement, peut-être l’avais-je posé à trop grande proximité d’une matière inflammable? Touchant le sac d’herbe sèche entreposé récemment, qui allait s’embraser et se transformer en bûcher mortuaire… Je me levais, nuit claire, je me dirigeais néanmoins avec la lampe frontale de mon rez-de- jardin jusqu’à la cave, pour découvrir que rien ne se passait d’extraordinaire. Rentrée de nouveau, je faisais le tour des objets susceptibles de diffuser cette chaleur, aucune prise électrique n’était noircie, indice d’une surchauffe, aucune pâtisserie n’avait été oubliée dans le four, et c’est après avoir fini le tour de la pièce pour vérifier que nul objet ne fut en contact, qu’il me vint l’idée de m’approcher de la bouilloire; c’était bien elle, qui même en fonction arrêt, avait continué à chauffer…jusqu’à faire évaporer l’eau restante… qui provoquait cette odeur. Rassurée d’avoir trouvé la cause, je la débranchais. Je pus ainsi trouver le sommeil. Au matin, quand je la rebranchai pour préparer le petit-déjeuner, elle fonctionnait comme d’habitude…Plus tard, en allant et venant dans la cuisine, je me rendis compte que même débranchée, la bouilloire continuait à …bouillir, en alternant les phases, elle le faisait même avec une certaine élégance.<br /> Ne me resterait plus alors qu’à continuer à l’alimenter en eau, pour qu’elle jouât le rôle de la locomotive qui m’obligerait à avancer, en ces temps de récession, un rapprochement salutaire, n’est-ce-pas.<br /> Christine<br /> 21 mars 2020
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A
Pour aller travailler il m'arrivait de passer devant la pâtisserie,histoire de prendre le pain et d'échanger quelques amabilités avec la patronne ,très aimable et quelque peu coquette. Aujourd'hui celle ci a perdu de son élégance avec sa charlotte ,son masque et ses gants.Il me fallait m'habituer,cependant elle restait touchante dans son nouvel appareil.Plus question de côtoyer quiconque ,il fallait désormais se cantonner aux gestes essentiels et reléguer son discours à plus tard.Alors dans ce climat délétère je ne pouvais m'évader qu'en rêvant aux longues promenades que je faisais le long de la rivière avec mes amis proches .Tout ceci dorénavant sera pour un autre temps, lorsque de l'enfermement nous passerons aux rapprochement
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P
Qui suis-je?<br /> <br /> Habitué au tumulte quotidien, proche de la résignation,<br /> ce matin encore, je regarde aux environs.<br /> <br /> Relégué par le règne des hommes au rang de simple détail,<br /> Ce matin encore je parcours les dalles.<br /> <br /> Mais que se passe t'il ce matin, dans ce monde mitoyen?!<br /> <br /> Habitué a côtoyer le danger pour quelques miettes de pain <br /> Ce matin, la proximité de l'homme ne me fait rien.<br /> <br /> Suis-je au bord d'une rivière?<br /> <br /> Tabac, Presse, et Pâtisserie ne sont pas ouverts!<br /> <br /> Habitué au tumulte quotidien, ce matin, je me sent bien<br /> et à défaut d'assouvir ma faim comme d'habitude<br /> Je peux enfin jouir de l'élégance d'un vol et toucher la plénitude.<br /> <br /> Car même avec la faim, sans l'homme et sans miettes de pain, en ce jour nouveau, je reste un moineau!
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J
Quand je me promenais, le long de la rivière,<br /> et que nous dégustions une pâtisserie,<br /> Tu étais l'élégance, je trouvais çà touchant,<br /> Nous n'étions pas encore, dans ce confinement,<br /> nous gardions le contact, c'est fini aujourd'hui.<br /> Comment se côtoyer, on dit que c'est la guerre?<br /> <br /> C'est dans le dictionnaire qu'est la contradiction,<br /> car si l'on ne peut plus pour longtemps être proches,<br /> pas de confinement, on voit bien que çà cloche<br /> ou je ne sais pas lire, ou je suis un couillon!
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B
Petit poème autour du ‘’ confinement ‘’<br /> <br /> Le long de la rivière je ne peux me promener<br /> Mais aux environs de mon monde je peux me balader<br /> Cotoyer l’élégance de mes élans, de mes désirs cacvhés<br /> Reléguée la patisserie, je n’ai point besoin de sucré<br /> En contact avec le précieux autour de moi je me sens si proche … du monde
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M
Ce petit roi couronné,insignifiant, invisible mais si proche de nous pauvres apeurés n'osant plus même respirer l'air ambiant, ce virus courroucé qui veut reléguer l'humain à un dangereux éternuement, un pollué postillon ,un crachat létal, n' inspirant tout le long des jours et jusque dans notre sommeil, peurs et inquiétudes, angoisses, frustres réflexes, absences et frustrations, cette vivace bestiole voyageuse et intrépide, terrasse sans bruit le contigu, la proximité, le rapprochement, le limitrophe, délaye avec élégance nos insouciantes vies comme le ferait la rivière d' une poignée de sable mais ne m’empêchera pas de traverser la rue jusqu'à la boulangerie pour y déguster une pâtisserie !<br /> Je sortirai masqué comme le concombre et de fait il ne me reconnaîtra pas . Non mais sans blague !
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G
Bonjour Pascale et vous tous dans l'attente se revoir au plus vite<br /> Voici mes quelques lignes.<br /> Dans ce contexte ambiant il est difficile de se cantonner sans pouvoir côtoyer sa famille, ses amis.Heureusement notre campagne offre des chemins le long de la rivière à proximité. Pour ne pas rester cloîtrée je vais à la pâtisserie avec une tenue élégante pour ne pas sombrer dans la tristesse et rester en contact sans rapprochement physique avec les gens.
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M
Coucou tout le monde, voici ma modeste contribution :<br /> <br /> En cette période trouble, me voilà cantonnée à la maison. Pas question d'être en contact avec les voisins déjà bien âgés et fragiles. Pas question non plus de pousser la balade jusqu'à la rivière, je respecte le tour de quartier que le président a eu l'élégance de nous autoriser. Je marcherai donc aux environs proches de la maison car il n'est pas question de rester cloîtrée à l'intérieur. Ce temps qui semble suspendu, qui n'est pas les vacances et qui n'est plus totalement alloué au travail me donne l'occasion de me plonger dans mes livres de recettes qui se trouvaient relégués au fond du placard. Je ne vais pas me laisser emporter par le spleen ambiant, une pâtisserie maison me remontera le moral: aussi agréable à faire qu'à déguster. Bon appétit !
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C
Comment se cantonner à une pâtisserie banale quand, avec mes proches, nous avions bien envie de traverser la rivière pour aller déguster, dans ce fameux salon en rez de jardin, contigu au cloître, lui-même limitrophe du prieuré.<br /> L’élégance de ce lieu, sa proximité avec un joli lieu de balade que nous envisagions de faire après notre dégustation, nous tentaient vraiment.<br /> Mais l’air ambiant, un peu maussade et hostile nous a relégués à la maison où j’ai confectionné un délicieux gâteau. Mes réserves ont révélé qu’environ tous les ingrédients nécessaires étaient présents.<br /> Nous nous sommes rapprochés autour d’un bon thé fumant et avons regardé un épisode touchant de notre feuilleton.
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N
La pâtisserie de Monsieur Limitrophe, à proximité de ma mitoyenne maison, me laisser côtoyer chaque jour de touchants oiseaux enfermés dans une cage adjacente à ma terrasse. Le long de la clôture attenante à nos deux bâtisses, une rivière, envoisinée d’arbres et de nature, coulait paisiblement. <br /> Aux alentours de 6h, ce matin, j ai cru bon de reléguer ces petits volatiles cloîtrés, vers un rez de jardin d’une élégance raffinée et plus adéquat à leur condition. Et après l’ouverture de leur cage , les ai mit en contact avec leur véritable environnement, pour un rapprochement naturel.
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